Sahraoui récupère son agrément après 7 mois d’enquête

Après avoir perdu son agrément suite à l’effondrement d’une bâtisse à la résidence URBA 2000 le 14 octobre 2016, le promoteur immobilier Sahraoui (Sarl SOPIREF) devrait récupérer son agrément incessam

Après avoir perdu
son agrément suite à l’effondrement
d’une bâtisse à la résidence URBA 2000 le 14 octobre 2016, le promoteur
immobilier Sahraoui (Sarl SOPIREF) devrait récupérer son agrément incessamment
après 7 mois d’enquête.

L’enquête diligentée
par le ministère de l’habitat au lendemain de l’incident d’URBA 2000 réhabilite
le promoteur immobilier Sahraoui M’Hamed dans ses droits professionnels et par
conséquent il pourra reprendre l’exercice de son activité de promotion
immobilière.

Dans sa décision
n°281/MH datant du 14 mai 2017, la Direction Générale de la Construction et des
Moyens de Réalisation a statué sur le recours du promoteur et adresse sa
décision au Directeur Général du fond de garantie FGCMP pour réintégration « J’ai
l’honneur de vous informer, que suite à l’examen du dossier de recours de la
Sarl SOPIREF, gérant M’hamed Nouredinne Sahraoui, que celui-ci a été réhabilité
et qu’à ce titre il peut recouvrer son agrément pour l’exercice de l’activité
de la promotion immobilière » écrit Monsieur Zahana.

C’est la fin d’une
histoire hors norme qu’a connu l’emblématique promoteur immobilier, qui a toujours
plaidé non coupable dès le 15 octobre.  Le
promoteur Sahraoui n’est pas en cause, c’est le voisin qui a fait n’importe
quoi « il faut connaître la vraie cause de ce désastre le problème
c’est que le promoteur qui construit juste derrière a dénudée les fondations à
cause de ses terrassements » nous déclarait Mounir Labraoui, un
architecte du staff SOPIREF.

Rappelons que suite au
retrait d’agrément, Sahraoui en perdant sa qualité de promoteur s’est vu écarter
de la présidence de l’Organisation Nationale des Promoteurs Immobilier ONPI
janvier dernier.