Logement
Logement Tissemsilt : Le secteur du logement au centre d’un scandale
Qui est derrière la distribution du onzième logement à Tissemsilt ?
Depuis quelques jours, la consternation est à son comble chez l
Qui est derrière la distribution du onzième logement à Tissemsilt ?
Depuis quelques jours, la consternation est à son comble chez les citoyens de la ville de Tissemsilt, la cause n’est autre que le bénéfice ambigu d’un logement au profit d’une femme habitant initialement dans la rue Bentammar Ahmed, une affaire qui a fait du bruit dans les lieux publics.
En effet, plusieurs administrations en relation avec le domaine du logement ont été sérieusement secoués par ce scandale venu juste à quelques jours des prochaines élections, dont le mis en cause n’est encore pas connu et les parties concernées (wilaya, daira, APC, OPGI et commissions), se démarquent toutes de cette situation.
Selon des informations, le nom d’une femme dont le père était il n’y a pas longtemps bénéficiaire d’un logement dans le cadre du social, est apparu sur une liste additive de dix personnes qui habitaient la rue Halil (éradiquée pour la précision et ses habitants relogés).
Ces personnes qui se sentaient lésées avaient reçu à l’époque les garanties que leurs cas seront réétudiés et rétablis dans leur droit, mais voilà qu’un onzième nom s’est glissé par miracle, pourtant cette personne n’a aucune relation avec le dossier des relogés, la surprise fut grande quand certains apprennent que la concernée a déjà honoré son dû envers l’OPGI et au milieu de cette affaire dont aucun responsable n’a voulu nous faire de déclarations.
Il est quand même de droit de s’interroger: est-ce que le dossier (si dossier existe) de cette femme est prioritaire à ce point ?
Qui a ordonné que le nom de cette femme soit parmi les bénéficiaires ? Des questions qui n’ont pas encore trouvé de réponses logiques, ce qui confirme qu’il existe une responsabilité dans cette affaire que personne ne veut assumer, le silence est plat comme si la décision est venue de plus haut et que personne ne veut parler de peur de représailles.