Logement
coup de gueule des souscripteurs aux logements LPP : ils menacent de recourir au désistement collectif
colère des souscripteurs aux logements LPP
La colère des souscripteurs aux logements LPP, n’est pas prête de s’estomper. Le sit-
colère des souscripteurs aux logements LPP
La colère des souscripteurs aux logements LPP, n’est pas prête de s’estomper. Le sit-in d’avant-hier, tenu par les souscripteurs aux logements LPP devant le siège de l’ENPI, n’est qu’un avant goût d’une série de protestations, que pensent relancer ces derniers, si l’ENPI reste muette à leurs doléances.
Ces préoccupations, les mêmes depuis le début de la protesta, consistent, pour rappel, respectivement en le prix du mètre carré jugé assez élevé et le mode paiement, pénalisant au regard de la bourse des demandeurs.
Deux revendications majeures, selon ces derniers, qui, ont décidé, dans un dernier élan, de recourir à un désistement collectif.
Apparemment, le bref entretien d’un délégué des souscripteurs et un responsable de l’ENPI, n’a pas été convaincant, du moins pour la partie contestataire.
Cette menace de désistement des souscripteurs aux logements LPP, viendrait à être effective, nous dit-on, si la requête que nous adressons au directeur régional, ne sera pas prise en compte.
Pour nous, le prix du mètre carré placé à 96.000 DA, excessif, de plus, c’est celui que l’on retrouve chez nombre de promoteurs, qui offrent des avantages supplémentaires, tels parkings, climatisation, cuisine équipée et autres.
Enfin, en termes de fiscalité, ces souscripteurs déplorent l’obligation imposée par la banque, qui est considéré plus comme une contrainte, qu’une facilitation. Certains souhaiteraient payer en liquidités, , en quoi cela est-il dérangeant pour la direction ?
De plus, pourquoi ne pas appliquer le même système de paiement que celui appliqué pour les souscripteurs AADL, à savoir le paiement par tranches ?
S’interrogent ces derniers, qui déclarent que ce sont là, leurs principales revendications, et qui sont jugées légitimes. Et pour aiguiser leur colère, ces souscripteurs, doivent s’acquitter des frais liés à la transaction immobilière, les honoraires du notaire et autres.
Source : Ouest Tribune